Skyrock.com
  • ACCUEIL
  • BLOGS
  • PROFILS
  • CHAT
  • Apps
  • Musique
  • Sources
  • Vidéos
  • Cadeaux
  • Cashback
  • Connecte-toi
  • Facebook
  • Google+
  • Crée ton blog

Première partie

 Première partie


Lilou,


J'ai passé à mon tour en revu dans ma tête toutes les formules de politesse possibles et inimaginables mais aucune ne me convient vraiment alors j'ai choisi la plus simple, mais la plus magnifique à la fois. Ton prénom tout simplement. Remarque cela a t-il réellement de l'importance maintenant que tu n'es plus là ? Pour être honnête avec toi je me sens totalement ridicule assis par terre des feuilles blanches sur les genoux, un stylo à la main, t'écrivant. Regarde moi, parce que tu peux me voir n'est-ce pas ? Moi Harry Styles l'accro à son iPhone comme un drogué à son héroïne tenant un vulgaire stylo. Ne suis-je pas ridicule ? Tu peux me voir Lilou je le sais.


En réalité l'idée d'écrire vient de ma psychologue. Oui tout le monde pensait que ce serait une bonne chose pour moi si j'allais voir quelqu'un, que cela pourrait m'aider. Je les ai laissé faire, je n'avais pas la force de me battre avec eux. Je n'avais plus la force de rien. Sauf de pleurer. Je l'ai rencontré un mois après ton départ. La voir m'insupportais et me rendais malade, ce n'était pas sa faute bien sur. Elle n'était pas méchante, mais je ne l'aimais pas tout simplement. Je n'aimais pas la façon qu'elle avait d'essayer de me faire parler. Je ne voulais pas parler, je voulais juste qu'on me laisse tranquille. Elle disait vouloir m'aider. Je ne voulais pas qu'on m'aide. Alors elle m'a conseillé d'écrire, disant que cela pourrait m'aider à aller mieux. Mais à quoi cela me servirait d'aller mieux sans toi Lilou ? Je trouve mon écriture horrible, ma main tremble trop, ou alors je manque d'exercice, je ne sais pas. Mais elle est moche n'est-ce pas ? Mon écriture. Tu as le droit de me le dire tu sais. En fait Lilou tu as le droit de me dire tout ce que tu veux, n'importe quoi, même un seul mot. Il en existe des milliard je te laisse le choix. J'ai juste besoin d'entendre ta voix encore une fois. Alors dis moi quelque chose sil te plait.


Rose. Je ne te l'ai pas dit mais ma psychologue s'appelait Rose, étrange nom pour un docteur tu ne trouves pas ?


Rose.


Tu te souviens de ce jour là Lilou ? À quel point j'avais été stupide. J'étais venu chez toi avec une rose rouge, je devais avoir surement quelque chose à me faire pardonner. J'avais souvent des choses à me faire pardonner. Je me demande encore comment tu as pu tomber amoureuse de moi. Je ne suis qu'un crétin. Ce jour là quand tu m'as ouvert la porte je t'ai tendu la rose en te disant que j'étais désolé, je ne savais même pas pourquoi je m'excusais, mais je sais que j'étais sincère. Je me souviens que tu portais l'un de mes t-shirts. Un des nombreux t-shirt que j'oubliais chez toi et que tu refusais de me rendre sous prétexte que vu que je les avais "lâchement abandonnés" maintenant ils t'appartenaient. Tes cheveux étaient en bataille et tes yeux fatigués, tu venais de te lever. Tu m'as regardé, tu as regardé la rose puis tu as reposé tes yeux sur moi avant de me dire :



"On offre une rose à la fille qu'on aime Harry, pas à sa meilleure amie."



Puis tu m'as claqué la porte au nez. J'avais mis ta réaction sur le compte de ta mauvaise humeur le matin. Si on avait le malheur de te réveiller, surtout en sonnant à ta porte tu étais d'une humeur massacrante, tu ne peux pas nier ton mauvais caractère au réveil. Je suis parti un léger sourire aux lèvres, je l'aimais moi ton caractère. Quand j'y repense mon dieu, quel abruti j'étais. Comment ai-je pu être aussi aveugle ? J'avais retenu les moindres petits détails de ce jour là, le t-shirt que tu portais, le bleu sur ta cuisse (tu avais surement du tomber comme souvent, tes pieds et toi n'étiez pas très bons amis), ta mèche de cheveux que tu avais remis trois fois derrière ton oreille et qui refusait de tenir, j'avais même relevé tes yeux fatigués. Mon dieu comment ai-je pu retenir tout cela et ne pas voir l'essentiel ? Car tes yeux Lilou ce n'était pas la fatigue qui les avait rougi mais les larmes. Tu avais vu les photos d'Emma et moi dans la presse et tu avais pleuré toute la nuit n'est ce pas ?



"On offre une rose à la fille qu'on aime."



J'étais trop stupide à l'époque, je n'avais pas su voir, je n'avais rien compris pardonne moi. Tu te souviens de ce jour là Lilou ? Si seulement j'avais été moins idiot. Si seulement j'avais compris serais-tu encore là ? Ne me réponds pas sil te plait, je connais la réponse et elle est bien trop dure à accepter.


Voilà, ma psychologue s'appelle Rose. Un simple prénom qui me rappelle la plus grosse de mes erreurs. La personne qui est censée m'aider porte le plus cruel des prénoms qui puissent exister. Ironique tu ne trouves pas ? Quand elle m'a conseillé d'écrire j'ai trouvé cette idée stupide, et j'ai refusé. Pourtant aujourd'hui j'en ai besoin. C'est trop tard. Mais j'ai besoin de t'écrire. Rose serait heureuse de voir que j'ai finalement cédé. Regarde mon écriture, tu as vu je m'applique pour toi. Je sais que tu liras cette lettre et j'ai envie que tu trouves mon écriture jolie. C'est ridicule ? Cela ne peut pas l'être autant que moi t'écrivant alors que tu sais que j'ai horreur de ça. Mais regarde je le fais pour toi. Mon dieu Lilou tu m'auras vraiment tout fait faire. Et j'aurais pu faire bien plus encore tu sais, si tu me l'avais seulement dit ou si tu m'en avais laissé le temps.



J'aurais pu cesser d'être aveugle. J'aurais pu te dire que j'étais bien plus dépendant de toi qu'un drogué ne l'était de son héroïne. J'aurais pu tant de choses tu sais. J'aurais surtout pu t'aimer comme tu le méritais.

Mais tu ne m'en as pas laissé le temps. Je ne t'en veux pas rassure toi, je ne t'ai jamais rien reproché sache le.

Tu sais ce qui est le plus triste dans tout ça ? Toutes ces roses que j'ai acheté, la personne que j'aime n'était plus là pour les recevoir.



*


« Je n'y arrive plus, j'ai trop mal. »



J'ai entendu ta voix cette nuit là. C'est elle qui m'a tiré du sommeil. Je me suis réveillé en sursaut, j'étais rempli de sueur. Quelque chose se passait, je le savais. Je le sentais au fond de moi. J'ai attrapé mon téléphone, 4 octobre. 3h03. Tu ne trouves pas ça dingue que je me rappelle encore de l'heure exacte ? Tu sais je me suis souvent demandé et je me demande encore si ce n'est pas à cette heure là exactement, 3 heures et 3 minutes, que tes yeux se sont fermés pour la dernière fois. 3, ton numéro porte bonheur, maintenant je déteste ce chiffre. J'ai essayé de t'appeler, ton portable était éteint. J'ai enfilé les premiers vêtements qui me passaient sous la main, mis mes chaussures et je suis descendu. J'ai du faire du bruit et réveiller Liam car il m'a semblé l'apercevoir en haut des escaliers en partant. J'ai même du lui dire que j'allais chez toi. Je ne me rappelle plus. Je n'avais qu'une seule chose en tête, te retrouver à tout prix. Si je disais à quelqu'un ce que je vais te dire il me prendrait surement pour un fou, mais je savais ce qu'il se passait. Le lien qui nous unissait était unique. Mon esprit savait et mon c½ur lui explosait. Je ne me rappelle pas du trajet jusqu'à chez toi mais j'imagine que c'est un miracle si j'ai encore mon permis de conduire.



« Pardonne moi. »



Je n'ai pas pris la peine de couper le contact ni même de fermer la portière, j'ai sauté hors de la voiture. J'ai entendu ta voix encore une fois. Mon c½ur s'affolait et ma tête tournait. Je me suis jeté sur la porte, je n'ai pas frappé, je l'ai enfoncé en trois coup d'épaules, elle est sortie de ses gongs. J'espère que tu ne m'en veux pas ? Le pire c'est que j'avais le double des clefs dans ma poche tu sais, mais mon esprit était trop embrouillé pour penser à s'en servir. Je me suis luxé l'épaule, mais je n'ai rien senti. C'est marrant dans les films le héros ne se fait jamais mal en enfonçant une porte lui. Le rez-de-chaussé était plongé dans le noir, la seule lumière provenait d'une des pièces de l'étage. J'ai titubé dans les escaliers, mes jambes avaient du mal à soutenir mon corps tellement il tremblait. J'ai du m'aider de la rampe pour arriver en haut, j'avais tellement peur de ce que j'allais découvrir. Le lumière venait de la salle de bain, la porte était entre-ouverte. Je me rappelle encore à quel point ma main tremblait lorsque je l'ai poussé. Si un peu plus tôt j'avais cru sentir mon c½ur exploser dans ma poitrine il n'en était rien. Il était toujours là et il diffusait des litres de venin dans mes veines qui me brûlait et me détruisait de l'intérieur. Ton corps si mince était étendu sur le sol, inerte. Je ne sais plus si j'ai crié, hurlé, prononcé ton nom ou même rien dit du tout. Je me souviens juste que mes jambes m'ont lâchées, incapables de supporter le poids de ma douleur, et que je me suis effondré à tes cotés. Je t'ai prise dans mes bras, je t'ai secoué te hurlant intérieurement que tu n'avais pas le droit de m'abandonner ainsi mais tu n'as pas réagi. Ton corps était si froid.. Dans ta main tu tenais une boite de médicaments vide, je te l'ai arraché et je l'ai jeté de toutes mes forces le plus loin possible comme si cela pouvait encore changer quelque chose. J'ai attrapé mon téléphone. 3h17. 14 minutes étaient passées. Il m'a échappé plusieurs fois des mains avant que je n'arrive à le déverrouiller. C'est à ce moment là que j'ai réalisé que je pleurais. Mes yeux étaient tellement remplis de larmes que je ne voyais plus mon écran.


Puis Liam est arrivé, finalement j'avais du lui dire où j'allais, ou alors il l'a deviné je ne sais pas. "Oh Mon Dieu" c'est la seule chose que je l'ai entendu dire avant qu'il n'appelle l'ambulance car il en était capable lui contrairement à moi. J'en ai honte Lilou si tu savais. Encore une fois Liam prenait les choses en main et moi je restais là assis par terre te serrant tellement fort contre moi que j'aurais pu te casser quelque chose. Il a voulu s'approcher de nous mais je l'ai repoussé d'un grognement mauvais et je t'ai serré encore plus fort dans mes bras. Personne ne t'enlèverai à moi. Personne ne t'éloignerai de moi. Je ne voulais laisser personne nous séparer tu comprends ?


Cette nuit là aussi tu portais l'un de mes t-shirt, mais pas n'importe lequel. Celui que tu m'avais demandé de te dédicacer au tout début de ma carrière.



"Tu vas devenir une star et moi je vais devenir riche en revendant ce t-shirt."



Et tu m'avais tiré la langue. Tu étais adorable quand tu tirais la langue. "L&H Forever xxx" voilà ce que j'avais signé, en te disant que tu ne pourrais jamais revendre un t-shirt aussi personnel que celui là.



"D'accord j'en vendrais un autre alors, celui là est à moi pour toujours."



Tu l'as fait exprès n'est-ce-pas Lilou ? De choisir celui là je veux dire. Tu voulais m'emporter avec toi. Tu as réussi tu sais, sans toi je n'ai plus jamais été moi même. Liam avait du prévenir les garçons car quand les secours sont arrivés et que je me suis mis à hurler, refusant de te lâcher c'est eux qui m'ont fait lâcher prise et eux encore qui m'ont retenu quand j'ai voulu monter à tes cotés dans l'ambulance. Avant que les portes ne se ferment je les ai vu tenter de te réanimer, tu étais en sous-vêtements devant ces inconnus qui posaient leurs mains sur toi, j'avais envie de les tuer, ils n'avaient pas le droit de te voir et de te toucher ainsi. Ils avaient découpé ton t-shirt, j'en étais malade. Je voyais ton corps si fragile se soulever violemment au rythme des électrochocs qu'ils envoyaient dans ta poitrine. Je hurlais, je voulais qu'ils cessent de te faire mal comme ça, je voulais qu'ils te laissent tranquille, qu'ils te rendent à moi. Je voulais te prendre dans mes bras là où tu serais en sécurité. Mais ils ne m'ont pas écouté et les portes se sont fermées t'emmenant loin de moi. Je me suis débattu dans les bras des garçons jusqu'à ce que l'ambulance disparaisse de mon champs de vision. Ils étaient quatre pourtant s'était tout juste si ils arrivaient à me retenir, je devais avoir l'air d'un hystérique mais cela m'était égal. Je me suis précipité à ma voiture mais Louis m'a devancé et s'est installé au volant, je l'ai laissé faire. Tu savais que c'était la première fois que je montais à l'arrière de ma propre voiture ?



Le trajet jusqu'à l'hôpital s'est passé en silence, les garçons pleuraient. Ils t'aimaient beaucoup tu sais.



À l'hôpital on nous a isolé dans une pièce grise sans vie. Il y avait une télévision, une table, des chaises, un canapé, des fauteuils, et même un distributeur de boissons. Le parfait cliché. Une pièce normale dans un hôpital normal, pourtant rien n'était normal. Non. Nous n'aurions jamais du nous trouver là. J'ai l'impression d'avoir passé une éternité dans cette salle. Une infirmière est venue vérifier mon épaule quand les garçons lui ont dit que j'avais enfoncé une porte, c'est comme ça que j'ai su qu'elle était luxée, je ne ressentais même pas la douleur. Les garçons ont tenté de me parler à plusieurs reprises mais je ne les entendais pas. Je suis resté immobile sur une chaise fixant le vide incapable de parler ou de penser. Je crois que c'est à ce moment là que j'ai définitivement perdu toute connexion avec la réalité. Je n'ai même pas eu la force de me lever quand le médecin est entré dans la pièce.



"Je suis désolé."



Ceux sont les seuls mots qu'il ai prononcé et ils étaient sincères, il semblait réellement désolé mais cela m'était égal. Il pouvait être désolé de tout ce qu'il voulait, il se trompait, tu n'étais pas partie, c'était impossible. Je n'ai même pas daigné le regarder quand je lui ai demandé de me rendre le t-shirt que tu portais. Sans même lever les yeux j'avais senti les regards perdus des garçons posés sur moi. Je voulais simplement récupérer ce t-shirt car je savais que tu y tenais et serais triste si tu ne le retrouvais pas en rentrant à la maison. J'ai enfin levé les yeux et j'ai vu leur hésitation, au médecin, aux garçons alors je me suis mis en colère, j'ai même fait tomber le distributeur de boissons, je ne pensais pas avoir autant de force tu sais. On me l'a rendu et mon c½ur s'est brisé encore un peu plus quand j'ai vu à quel endroit ils l'avaient déchiré. Sur tout les endroits possibles qu'il y avait, c'est entre le L et le H qu'ils avaient séparé le tissus. Le hasard est vraiment cruel parfois. Ils avaient réussi à nous séparer, mais je ne les ai pas laissé faire tu sais. Plus tard j'ai découpé le tissus en gardant seulement le "L", "H" et "Forever" puis je les ai recousu ensembles. C'était la première fois de ma vie que je j'utilisais une aiguille à coudre et du fil. Tu as du bien rigoler en me voyant faire parce que je sais que tu peux me voir de là où tu es Lilou. Le résultat n'était pas terrible, mais il a tenu. Je nous ai rassemblé, je n'allais pas laisser de simples inconnus en blouse blanche nous séparer. Cela aurait été trop facile. Je tiens à ce simple bout de tissus comme à la prunelle de mes yeux, il ne m'a jamais quitté, pas même une seule journée depuis que tu es partie.



Quand on me l'a rendu il n'y avait pas de sang dessus. Quand les gens partent il y a toujours du sang sur leurs vêtements en général non ? Tu vois tu ne pouvais pas être partie, ils se trompaient tous.



Quand nous avons quitté l'hôpital il y avait déjà une foule de paparazzis qui nous attendaient. Il faisait encore nuit, j'ai toujours trouvé ça fou à quelle vitesse ils savaient où nous trouver. Quand nous sommes sortis entourés par la sécurité de l'hôpital, Louis a glissé sa veste sur ma tête. Cela m'était égal qu'ils me voient tu sais, mais je l'ai laissé faire. Malgré le tissus posé sur mon visage j'étais ébloui par les flash. Je les entendais poser toutes leurs questions et je n'avais qu'une seule envie, celle de hurler, de leur dire de nous laisser tranquille. Mais je n'en avais pas la force, mon esprit était parti trop loin, il était avec toi. J'ai suivi les garçons qui me poussaient vers la voiture comme un automate. J'ai passé tout le trajet du retour dans le brouillard, mon esprit ne fonctionnait plus.



C'était la deuxième fois que je montais à l'arrière de ma propre voiture.



Quand sommes rentrés à la colocation, c'est là que j'ai craqué. Je ne suis pas fière de ce que j'ai fait mais j'étais tellement en colère si tu savais.. Pas contre toi bien sur mais contre moi d'être arrivé trop tard. Je m'en suis pris au salon, retournant les meubles, arrachant les rideaux, je criais toute ma rage, proférais des insultes, balançant tout ce qui me passait sous la main. Les garçons n'ont pas bougé, ils me regardaient impuissants évacuer toute ma colère. Puis j'ai fini par m'effondrer au sol à bout de forces. Je me souviens que Louis est venu s'agenouiller devant moi et m'a prit dans ses bras, puis Niall, Liam et Zayn nous on rejoins. Le lecteur DVD qui avait échappé, je ne sais par quel miracle, au massacre affichait 6H03. Trois heures exactement s'étaient écoulées et encore une fois le chiffre 3.


Je ne sais pas combien de temps nous sommes restés ainsi, moi dans les bras de mon meilleur ami, entouré de mes trois autres meilleurs amis pleurant tous en silence avant de céder à l'épuisement et de nous endormir ensemble au milieu de notre salon dévasté.


​ 198 | 51 |
​
0 | Partager
Commenter

Plus d'informationsN'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (54.80.8.44) si quelqu'un porte plainte.

Connecte-toi

#Posté le samedi 27 octobre 2012 11:51

Modifié le samedi 07 octobre 2017 17:08

  • Précédent
  • 1
  • 2
  • 3
  • 4
  • 5
  • 6
  • 7
  • 8
  • 9
  • ... 11
  • Suivant

Design by OnlyOneYear

Signaler un abus

Abonne-toi à mon blog ! (1 abonné)

RSS

OnlyOneYear

Masquer
Photo de OnlyOneYear
  • Suivre
  • Envoyer un messageMessage
  • Plus d'actions ▼
  • Partager
  • Offrir un cadeau
  • Bloquer
  • S'abonner à mon blog
    • 954 kiffs
    • 203 commentaires
    • 20 084 visites

    Création : 22/10/2012 à 16:17 Mise à jour : 08/10/2017 à 10:22

    Skyrock.com
    Découvrir
    • Skyrock

      • Publicité
      • Jobs
      • Contact
      • Sources
      • Poster sur mon blog
      • Développeurs
    • Infos

      • Ici T Libre
      • Sécurité
      • Conditions
      • Aide
      • Signaler un abus
      • En chiffres
    • Apps

      • Skyrock.com
      • Skyrock FM
      • Smax
      • Yax
    • Autres sites

      • Skyrock.fm
      • Tito Street
      • Tasanté
      • kwest
      • Zipalo
      • oMIXo
    • Blogs

      • L'équipe Skyrock
      • Music
      • Ciné
      • Sport
    • Versions

      • International (english)
      • France
      • Site mobile